Citation de Jacques Amyot

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Ce que le roy ayant entendu, s'en aigrit et courroucea si amerement, qu'il commanda incontinent que l'on luy tranchast la teste.... - Jacques Amyot

Ce que le roy ayant entendu, s'en aigrit et courroucea si amerement, qu'il commanda incontinent que l'on luy tranchast la teste.

Jacques Amyot

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Naïveté de l'intellectuel de 1950 qui croit qu'il faut se raidir pour se grandir.

Albert Camus

C'est diamant brute la passion : Diminuera pour être plus beau.

Charles de Leusse

Chemin n'a pas d'herbe, Mais ses côtés l'ont. Le contour des robes Aux yeux et aux mains Se voient au douceur Que nous allons prendre.

Charles de Leusse

Tel passe pour un grand esprit qui ne serait qu'un sot s'il n'était pas ministre.

Claude-Adrien Helvétius

Toute amitié est un drame inapparent, une suite de blessures subtiles.

Emil Cioran

Rien ne dure, la vie n'est qu'un changement : la mort et la vie se chevauchent, s'entremêlent inextricablement : rien n'a de sens, rien n'existe qu'un flux changeant à la surface duquel des choses arrivent.

George Moore

Rousses : V. blondes, brunes et négresses.

Gustave Flaubert

Ilz voulurent eslargir et estendre leur poincte droitte pour envelopper Epaminondas.

Jacques Amyot

Je ne supporte pas d'être moi, je m'invente.

Joë Bousquet

Nous vivons dans un siècle où les idées superflues surabondent, et qui n'a pas les idées nécessaires.

Joseph Joubert

La postérité... qui n'est qu'un public qui succède à un autre.

Nicolas de Chamfort

Les blessures sont une partie essentielle de la vie, et tant qu'on n'est pas blessé d'une façon ou d'une autre, on ne peut pas devenir un homme.

Paul Auster

Il y a des générosités si tardivement exprimées, si réticentes, à l'avance si soulagées de ne pas se voir raisonnablement envisagées, qu'elles apparaissent d'emblée pour ce qu'elles sont : de la courtoisie sous contrainte.

Philippe Delerm

Je doute qu'on se remette jamais vraiment de son premier amour.

Stephen King

O ma mère et ma nourrice ! Toi dont l'âme protectrice Me fit des jours composés Avec un bonheur si rare, Et qui ne me fus avare Ni de lait ni de baisers !

Théodore de Banville