Les femmes ont des pressentiments dont la justesse tient du prodige.
Honoré de Balzac
Danton était la vie même, faisait exhumer le cadavre de sa femme pour la serrer encore dans ses bras.
Aimée de Coigny
Bienheureux est celui qui, cessant de penser et de comprendre, s'abîme dans la contemplation de la beauté.
Anatole France
A chaque enfoncement dans le flot, la tige de la pagaie prend appui sur la cuisse nue.
André Gide
Or, l'audio-visuel apporte à l'imaginaire des moyens aussi limités que ceux du théâtre : ils ne saisissent directement que l'homme extérieur.
André Malraux
Il y a une voie qui paraît droite à l'homme, dont la fin néanmoins conduit à la mort.
Bible
C'est un défaut courant des hommes : penser qu'avec un peu d'argent ils obtiendront toujours ce qu'ils voudront.
Dominique Barbéris
Si tu refuses de discuter avec les sots, tu ne discuteras plus avec personne.
Félix Leclerc
En se prêtant avec complaisance aux demandes raisonnables des parents, il [l'instituteur] se gardera bien de sacrifier à leurs capricieuses exigences ses principes d'éducation et la discipline de son école.
François Guizot
Cette frénésie qu'on appelle amok... Cette frénésie n'est pas de la folie, c'est un délire lucide, qui sait utiliser toutes les ressources de la ruse.
Henri Fauconnier
Le souvenir d'une mère est l'écrin contenant les plus purs joyaux de la mémoire du vieillard.
Jean Antoine Petit-Senn
Collectivement, la mort n'existe pas. Plus il y en a, moins ça compte. Trop de morts, c'est comme l'ailleurs. C'est trop loin. Ca n'a pas de réalité. N'a de réalité que la mort individuelle.
Jean-Claude Izzo
Eh ! mon enfant, la bonté est le seul charme qui soit permis aux vieillards ; c'est la coquetterie des cheveux blancs.
Octave Feuillet
Il ne faut jamais lancer de pierre quand on habite une maison de verre.
Proverbe Chinois
A la saint Georges, Sème ton orge ; A la saint Marc, Il est trop tard. A saint Barnabé, La faux au pré ; En juillet, Faucille au poignet.
Proverbe Français
Il n'y a pas de mauvais employés, seulement de mauvais patrons.
T. S. Lin
