Citation de Gustave Le Bon

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Bien connaître les bornes de son pouvoir est nécessaire afin de ne jamais s'approcher des limites où se manifesterait l'impuissance.... - Gustave Le Bon

Bien connaître les bornes de son pouvoir est nécessaire afin de ne jamais s'approcher des limites où se manifesterait l'impuissance.

Gustave Le Bon

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Si je me soignais, je mourais. Ce qui me soutient, c'est la vie fiévreuse que je mène. Puis, se soigner, c'est bon pour les femmes du monde qui ont une famille et des amis.

Alexandre Dumas

Comme l'amour, l'art n'est pas plaisir mais passion.

André Malraux

Interpréter des chefs-d'oeuvre est la tâche de toute une vie, et cela implique la responsabilité d'un dévouement complet à l'oeuvre.

Daniel Barenboim

L'architecture est une sorte d'oratoire de la puissance au moyen de formes.

Friedrich Nietzsche

La solitude n'est possible que très jeune, quand on a devant soi tous ses rêves, ou très vieux, avec derrière soi tous ses souvenirs.

Henri de Régnier

Enfin, c'est inadmissible : qu'est-ce que vous fabriquez ici à cette heure ?

Henry de Montherlant

Pour fuir un défaut, les maladroits tombent dans le défaut contraire.

Horace

Le sommeil n'est plus un lieu sûr.

Jean Cocteau

Le problème, c'est qu'à force de parler pour ne rien dire exprès, on ne fait plus exprès de ne plus rien avoir à dire en vrai.

Marc-Édouard Nabe

Le chagrin est en proportion de la faiblesse de l'âme.

Proverbe Arabe

L'adversité rend sage.

Proverbe Français

Le monde n'a de constant que son instabilité.

Proverbe Indien

Un jour, mon valet de chambre, Maurice, qui ne pardonne rien à la poussière, soulèvera délicatement mon sourire, lui donnera quelques coups de plumeau et le déposera sur l'étagère de la salle de bains parmi mes autres articles d'hygiène.

Romain Gary

Puis parler, vite, des mots, comme l'enfant qui se met en plusieurs, deux, trois, pour être ensemble, dans la nuit.

Samuel Beckett

Tout mobile qui se meut dans un cercle ou dans une ellipse ou dans une courbe quelconque se meut autour d'un centre auquel il tend.

Voltaire