Citation de Gustave de Molinari

← Précédent Suivant →
Car un moment viendra où l'État, soit qu'il demeure dans les mains des conservateurs ou qu'il tombe dans celles des socialistes,... - Gustave de Molinari

Car un moment viendra où l'État, soit qu'il demeure dans les mains des conservateurs ou qu'il tombe dans celles des socialistes, pèsera sur la société d'un tel poids qu'elle cessera de pouvoir le porter.

Gustave de Molinari

Toutes les citations de Gustave de Molinari →

Explorer les Citations

Tout le monde est réaliste. Personne ne l'est. Finalement ce n'est pas l'esthétique qui importe, mais l'attitude intérieure.

Albert Camus

Il y a des tempéraments heureux, qui se consolent de tout parce qu'ils ne sentent rien vivement.

Antoine Hamilton

On est jusqu'à vingt ans petit pour sa nourrice.

Casimir Delavigne

Sans l'illusion, où irions-nous ? Elle donne la puissance de manger la vache enragée des Arts, de dévorer les commencements de toute science en nous donnant la croyance. L'illusion est une foi démesurée !

Honoré de Balzac

Le médecin fait souvent plus de bien en arrivant qu'il n'en a fait en sortant.

Jacques Deval

Fait-on raisonner l'aigreur ?

Jean Frain du Tremblay

C'est là ce qui est si beau et si dur dans la vérité, elle est éternelle mais ce n'est qu'un éclair.

Jean Giraudoux

L'amour tue l'intelligence. Le cerveau fait sablier avec le coeur. L'un ne se remplit que pour vider l'autre.

Jules Renard

Dieu ne croit pas à notre Dieu.

Jules Renard

Paella-ordure : Spécialité culinaire espagnole composée de riz mélangé avec des restes

Marc Escayrol

Les conventions finissent par former les êtres.

Marguerite Yourcenar

Quand les types de cent trente kilos disent certaines choses, ceux d'soixante kilos les écoutent...

Michel Audiard

C'est la beauté qui capte votre attention. C'est la personnalité qui capte votre coeur.

Oscar Wilde

L'éponge absorbe, mais il faut la presser pour qu'elle s'exprime.

Proverbe Allemand

Nous avouons tous des préférences musicales mais nous chérissons surtout les concerts de nos louanges.

Umar Timol