Citation de Gottfried Wilhelm Leibniz

← Précédent Suivant →
Chaque substance simple est un miroir vivant perpétuel de l'univers.... - Gottfried Wilhelm Leibniz

Chaque substance simple est un miroir vivant perpétuel de l'univers.

Gottfried Wilhelm Leibniz

Toutes les citations de Gottfried Wilhelm Leibniz →

Explorer les Citations

Le sourire d'un orphelin, il vaut plus chère que le salaire de Beckham ...!

Anonyme

Je ne crois pas que le spectacle change plus de la Terre à la Lune, qu'il fait ici d'imagination à imagination.

Bernard Le Bouyer de Fontenelle

Sa vie était une constance soustraction d'elle-même.

Clarice Lispector

La vie est censée être un défi, car ce sont les défis qui vous font grandir.

Gisèle Bundchen

Ces différentes conduites de Dieu dans l'ancienne et dans la nouvelle alliance.

Jacques-Bénigne Bossuet

Parfois les gens ne comprennent pas les promesses qu'ils font au moment où ils les font.

John Michael Green

Il n'y a rien de pire que la transparence absolue de la vie privée, où chacun devient le big brother de l'autre.

Jorge Semprún

Je ne crois pas en l'astrologie. Les seules étoiles responsables de mes échecs, je les ai trouvées dans un ballet.

Noël Coward

Vivre la naissance d'un enfant est notre chance la plus accessible de saisir le sens du mot miracle.

Paul Carvel

L'homme qui se fâche est toujours le dernier à savoir les choses.

Paul Claudel

Qui se lève de bon matin pisse où cela lui plaît.

Proverbe Français

La plupart des gens répètent comme des perroquets ce qu'ils ont entendu dire à des demi-savants qui, n'ayant que des connaissances imparfaites, raisonnent le plus souvent de travers.

Sébastien Le Prestre de Vauban

C'est à coups de mépris public qu'un mari tue sa femme au XIXe siècle ; c'est en lui fermant tous les salons.

Stendhal

La solitude d'un enfant – la vraie ! – lorsqu'il ne crie ni n'écoute, oui, c'est un appel de Dieu

Tobie Nathan

Les discussions de classe consistent à laisser vingt lourdauds et deux prétentieux parler avec leur professeur de quelque chose qu'aucun d'entre eux ne comprend.

Vladimir Nabokov