Citation de Giacomo Casanova

← Précédent Suivant →
Je n'ai jamais dans ma vie fait autre chose que travailler pour me rendre malade quand je jouissais de ma santé, et travailler pour... - Giacomo Casanova

Je n'ai jamais dans ma vie fait autre chose que travailler pour me rendre malade quand je jouissais de ma santé, et travailler pour regagner ma santé quand je l'avais perdue.

Giacomo Casanova

Toutes les citations de Giacomo Casanova →

Explorer les Citations

Les plus douteux égarements de la chair m'ont laissé l'âme plus tranquille que la moindre incorrection de mon esprit.

André Gide

Le jeu est le dernier recours avant l'ennui.

Brice Tarvel

L'écrivain de par la nature de sa profession est un rêveur et un rêveur conscient. Il doit imaginer, et l'imagination nécessite de l'humilité, de l'amour et un grand courage.

Carson McCullers

Le hasard, ce sont les lois que nous ne connaissons pas.

Émile Borel

Je marchais sur des oeufs. Surtout ne pas trop parler, ni trop promettre. Ne pas entrer dans les détails non plus. Comme le vent abat un chêne, une simple phrase détruit un rêve.

Gilles Martin-Chauffier

Ne croyez pas les mains sans les gants plus robustes que les autres.

Gustave Flaubert

Mobilier : Tout craindre pour son mobilier.

Gustave Flaubert

Il n'y a pas une vertu qui ne soit doublée d'un vice. La littérature engendre bien les libraires.

Honoré de Balzac

Vice : plaisir que l'on n'a pas goûté.

Louis Aragon

L'amour est un théâtre où les femmes distribuent les contremarques.

Louis-Auguste Commerson

L'admiration change les proportions entre les hommes, fait de l'un un géant et de l'autre un lilliputien.

Martine Le Coz

Citoyen, vouliez-vous une révolution sans révolution ?

Maximilien de Robespierre

As-tu déjà entendu un bébé babiller dans son berceau ? Il imite à sa façon la parole des adultes qu'il entend autour de lui. Il croit peut-être qu'il parle comme eux.

Michel Tournier

Si l'on est trop assuré de leur possession, même les biens les plus importants et les plus rares perdent l'attrait qui était le leur.

René Girard

Pour sauver ce vieux monde il faut un Dieu nouveau, Et le prêtre demande un autre sacrifice. Voici bien deux mille ans que l'on saigne l'Agneau ; Il est mort à la fin, et sa gorge épuisée N'a plus assez de sang pour teindre le couteau.

Théophile Gautier