Citation de Georges Wolinski

← Précédent Suivant →
Tu balanceras (mes cendres) aux chiottes, comme ça, chaque fois que tu t'assoiras sur ma tombe, je verrai ton cul.... - Georges Wolinski

Tu balanceras (mes cendres) aux chiottes, comme ça, chaque fois que tu t'assoiras sur ma tombe, je verrai ton cul.

Georges Wolinski

Toutes les citations de Georges Wolinski →

Explorer les Citations

La civilisation n'est autre chose que l'acceptation, par les hommes, de conventions communes.

André Maurois

Vous devez toujours savoir distinguer l'essentiel de la futilité.

David Ben Gourion

Quand on commence à être amoureux, on voudrait que tout progresse sans aspérité, avec une facilité miraculeuse.

Douglas Kennedy

Les filles qui font consommer les femmes sont celles qui excitent leur mari, les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur.

Frédéric Beigbeder

Le rire se termine vite. L'émotion, on l'emmène avec soi. C'est un peu pareil qu'entre faire l'amour et être amoureux.

Gérard Jugnot

Je pense à ce que je suis, là où je ne pense pas penser.

Jacques Lacan

Ils se regardèrent, émus, ravis. Tous deux sentirent qu'ils s'aimaient. Sans se l'être jamais dit, ils en avaient la certitude délicieuse et profonde. C'est le miracle de l'amour de n'avoir pas besoin de mots pour se comprendre.

Laure Conan

La nature, le soleil, l'enfance poursuivent leur chemin sans se soucier de nos souffrances.

Léonor de Récondo

Mère des Enéades, plaisir des hommes et des dieux, Vénus nourricière.

Lucrèce

L'amitié peut être muette, et le doit être presque toujours. L'amour au contraire doit être éloquent et l'on ne peut jamais trop dire qu'on aime.

Madeleine de Scudéry

J'étais heureux et je le savais. Pendant que nous vivons un bonheur, il nous est difficile de le sentir. Ce n'est que lorsqu'il est passé et que nous regardons en arrière que nous comprenons soudain - parfois avec étonnement - combien nous avons été heureux. Mais moi, sur ce rivage de Crète, je vivais le bonheur et je savais en même temps que j'étais heureux.

Níkos Kazantzákis

Les gens réagissent à la colère comme des miroirs. Ce sont leurs neurones miroirs qui parlent. Ces structures de la reconnaissance qui permet l'apprentissage par imitation. De la même façon qu'un enfant mime les réactions faciales de ses parents. Si un gosse pleure dans une classe de maternelle, tous les autres pleurent avec lui sans savoir pourquoi. La colère contamine la foule.

Patrick Bauwen

La bouche fait jaillir le feu en soufflant sur l'étincelle et l'éteint en crachant dessus.

Proverbe Français

Les contrastes réunis par un juste accord, n'en sont que plus agréables ; les ténèbres servent à relever l'éclat du jour.

Stanislas Leszczinski

Tout idéal, dès qu'il est formulé, prend un aspect désagréablement scolaire.

Valery Larbaud