Citation de Georges Simenon

← Précédent Suivant →
Je crois beaucoup à la transmission de nos caractéristiques, de génération en génération... à un moment donné, j'ai été curieux de c... - Georges Simenon

Je crois beaucoup à la transmission de nos caractéristiques, de génération en génération... à un moment donné, j'ai été curieux de connaître mes origines...

Georges Simenon

Toutes les citations de Georges Simenon →

Explorer les Citations

La malédiction commence avec l'exploitation de ce travail par un autrui mystérieux qui ne connaît du travailleur que son "rendement".

André Gide

L'amour est un enfant jaloux, il n'admet pas ces rivaux qu'on le charge de produire lui-même.

Claude Aveline

Je voulais ce qu'il y avait de mieux pour toi. Malheureusement, il ne m'est pas venu à l'esprit que ce pourrait être moi.

Daniel Glattauer

Qui a dit : Je veux bien mourir pour le peuple, mais je ne veux pas vivre avec ? Quelqu'un dans mon genre. C'est si facile de mourir, c'est si joli un héros. Et une héroïne donc !

Françoise Giroud

Entendre des voix célestes, ce n'est pas catholique.

Frédéric Dard

L'amour a ses intuitions comme le génie a les siennes, et je voyais confusément que la violence, la maussaderie, l'hostilité ruineraient mes espérances.

Honoré de Balzac

Il n'y a pas d'anniversaire heureux.

Jean Chalon

Le temps de l'attente ressemble au temps de la sécheresse ; toujours trop long.

Jovette Marchessault

Je parie que mon horoscope n'avait pas prédit que je ne le lirais pas cette semaine. Je vais tout de même vérifier...

Philippe Geluck

La haine est toujours plus clairvoyante et plus ingénieuse que l'amitié.

Pierre Choderlos de Laclos

On mesure les tours par leur ombre et les grands hommes par leurs envieux.

Proverbe Chinois

Qui est en faute, est sur la braise.

Proverbe Italien

Il n'est pas de pire enfer que de se haïr soi-même.

Rosa Montero

L'ardeur pour le mal aveugle ; l'ardeur pour le bien éclaire.

Suzanne Curchod

Elle porta son regard vers le ciel, qui avait la pureté d'un cristal. Au loin, sur les montagnes, la neige avait une tonalité crémeuse et tendre et se voilait, eût-on dit, d'une mousseline de fumée.

Yasunari Kawabata