Citation de Georges Courteline

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Brusquement un coup de fouet le cingla, le sang lui monta au visage ; car voici qu'il l'avait vue nue.... - Georges Courteline

Brusquement un coup de fouet le cingla, le sang lui monta au visage ; car voici qu'il l'avait vue nue.

Georges Courteline

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Marinette parlait business maintenant, de la chaude soirée qui se préparait pour ses perruches, l'Ile-de-France ayant le matin même dépoté au Havre un contingent d'amerloques.

Albert Simonin

Je meurs d'amour, d'un amour sans fin, sans nom, insensé, désespéré, perdu !

Alfred de Musset

Combien reste t-il d'hommes qui savent refuser leur main à qui ne mérite pas de la serrer ?

Alice Ferney

Avant de juger une peinture, cherchez ce que le peintre a voulu, et ne le condamnez pas sur les sacrifices qu'il a dû faire pour mieux rendre sa pensée. Le génie consiste surtout à oser les sacrifices nécessaires, si grands qu'ils soient.

Anatole France

Je cherche en vain une épithète pour peindre l'extraordinaire luminosité du ciel.

André Gide

Dans la vie, je suis plutôt gonflé. Devant une caméra, je me dégonfle.

Christophe

La liberté et la santé se ressemblent ; on n'en connaît le prix que lorsqu'elles vous manquent.

Georges Simenon

Le mariage vous donne un entourage, il vous met dans une situation que vous croyez "normale", et qui ne l'est pas toujours.

Hervé Bazin

Le cancer nous affecte tous, que vous soyez une fille, une mère, une soeur, un ami, un collègue, un médecin, un patient.

Jennifer Aniston

Maman ! Maman ! Venez m'aider, je vous en prie ! Si je deviens aveugle et si je perds la raison comme mon père, que va-t-il advenir de mon fils ? Oh ! je vous en supplie, dites-moi comment survivre tous à notre folie !

Kenzaburo Oe

La foi peut se traduire par le simple fait de faire quelque chose plutôt que de désespérer.

Michel del Castillo

La solitude, ce n'est pas de vivre seule, c'est de vivre chez les autres, chez des gens qui ne s'intéressent pas à vous, pour qui vous comptez moins qu'un chien.

Octave Mirbeau

La fête est ainsi célébrée dans l'espace-temps du mythe et assume la fonction de régénérer le monde réel.

Roger Caillois

Désormais, la crainte - ou l'attente - du bruit meuble ses jours, ses nuits, tempère ses humeurs, modifie son comportement. Le reste de sa vie est en suspens. Elle a laissé l'obsession grignoter son quotidien.

Tatiana de Rosnay

Des fois que le rêve et le besoin de rêver se confondent, que vient y faire la réalité ?

Yves Thériault