Citation de Friedrich Nietzsche

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J'aime celui dont l'âme se dépense, celui qui ne veut pas qu'on lui dise merci et qui ne restitue point : car il donne touj... - Friedrich Nietzsche

J'aime celui dont l'âme se dépense, celui qui ne veut pas qu'on lui dise merci et qui ne restitue point : car il donne toujours et ne veut point se conserver.

Friedrich Nietzsche

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Misérable est la vie de ceux qui aiment mieux être craints qu'être aimés.

Cicéron

Il n'y a pas de raison sans passion, et il ne devrait pas y avoir de passion sans raison.

Edgar Morin

Non ! car c'est dans le conte - Que lorsqu'on dit : Je t'aime ! au prince plein de honte, - Il sent sa laideur fondre à ces mots de soleil... - Mais tu t'apercevrais que je reste pareil.

Edmond Rostand

La femme nous remet en communication avec l'éternelle source où Dieu se mire.

Ernest Renan

Accepter les caprices du temps, accepter l'imprévu ; le silence et les temps morts. Savoir s'ennuyer. Ces petits renoncements trament l'étoffe des vacances.

Frédéric Martinez

Avec ce qu'il estoit de doulce et humaine nature, encore avoit il une grace de sçavoir attraire et gaigner les cueurs.

Jacques Amyot

Je ne regrette qu'une fois qu'on m'a tapé sur les doigts.

Joey Starr

Il y a des gens qui n'ont de la morale qu'une pièce. C'est une étoffe dont ils ne se font jamais l'habit.

Joseph Joubert

Eloge funèbre : La moitié de ça lui aurait suffi de son vivant.

Jules Renard

Un chien mord un homme, c'est un fait divers. Un homme mord un chien, c'est un scoop.

Max Aitken

Les hommes sont plus pudiques qu'on le croit. Pour les faire rougir, il suffit de les surprendre, il suffit qu'ils ne soient pas les instigateurs.

Nelly Arcan

Un des petits torpilleurs qui s'étaient empannés près de la côte, démarra brutalement.

Robert Merle

J'avais pour les étables un goût plus irrésistible que jamais courtisan pour les antichambres royales ou impériales.

Rosa Bonheur

Je préfère une vérité laide à un joli mensonge.

Shakira

Une douleur persistante s'empara de mes muscles. Quels muscles pouvais-je bien avoir à l'époque, je l'ignore ! Mais la douleur était là et elle me mettait en rage, car elle m'empêchait de m'abstraire de mon propre corps.

Varlam Chalamov