Citation de Frédéric Beigbeder

← Précédent Suivant →
Bénissons nos désirs insatisfaits, chérissons nos rêves inaccessibles : l'envie nous maintient en vie.... - Frédéric Beigbeder

Bénissons nos désirs insatisfaits, chérissons nos rêves inaccessibles : l'envie nous maintient en vie.

Frédéric Beigbeder

Toutes les citations de Frédéric Beigbeder →

Explorer les Citations

Nos amitiés ne doivent pas être fondées sur l'intérêt, car l'amitié est une vertu et non un négoce.

Ambroise de Milan

Bridget laissa son esprit vagabonder. Elle ne s'était jamais demandé comment lui était venue cette passion pour le foot, mais voilà : c'était ici que tout avait commencé.

Ann Brashares

Qu'est-ce qui peut résister au pouvoir sans bornes d'un prince absolu qui gouverne un peuple belliqueux ?

Catherine II

Pour écrire heureux, écrivons cachés.

Cécile Vargaftig

Le vin a le pouvoir d'emplir l'âme de toute vérité, de tout savoir et philosophie.

Jacques-Bénigne Bossuet

Cette mesure, [ de fermeture des établissements scolaires ] nous y sommes préparés puisque depuis plusieurs semaines, nous avons mis en place les mécanismes de continuité administrative et pédagogique. Notre but est évidemment qu'aucun élève ne reste sur le bord du chemin dans une période exceptionnelle comme celle-ci.

Jean-Michel Blanquer

Rien ne vaut une douce maman.

Léon Tolstoï

La raison rougit des penchants dont elle ne peut rendre compte.

Luc de Clapiers

Tout le chagrin du monde dans une seule coupe de vin.

Michel Leiris

La meilleure façon de s'assurer une défaite est d'abandonner.

Morgan Freeman

La créativité est la clé pour tout enfant souffrant de dyslexie, ou pour quiconque d'ailleurs.

Orlando Bloom

Un porteur d'hebdomadaires singeait à la fois le caquètement de la poule pondeuse et le cocorico du coq victorieux.

René Fallet

Le désir de sécurité s'oppose à toute grande et noble entreprise.

Tacite

Le mariage est une maladie qui ne guérit que par la mort d'un des deux époux.

Théophile Gautier

Dans ta jeunesse fais l'amour, Et ton salut dans ta vieillesse.

Voltaire