Citation de Félix Fénéon

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En se le grattant avec un revolver à détente trop douce, M. Ed. B... s'est enlevé le bout du nez au commissariat Vivienne.... - Félix Fénéon

En se le grattant avec un revolver à détente trop douce, M. Ed. B... s'est enlevé le bout du nez au commissariat Vivienne.

Félix Fénéon

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On ne peut lire si on ne connaît les lettres, seulement les lettres sont effacées par le sens.

Alain

La présence diminue la réputation, l'absence l'augmente.

Baltasar Gracián

Je ressens un besoin sans fin d'apprendre, d'améliorer, d'évoluer, non seulement pour plaire au coach et aux fans, mais aussi pour me sentir satisfait de moi.

Cristiano Ronaldo

La jeunesse est une ivresse continuelle ; c'est la fièvre de la santé ; c'est la folie de la raison.

François de La Rochefoucauld

J'ai une connaissance assez adéquate des forces sataniques.

James Dean

Si j'ai perdu mes jours dans la volupté, ah ! rendez-les moi, grands dieux, pour les reperdre encore.

Julien Offray de La Mettrie

Si j'étais né avant mon père, j'aurais pu être le sien.

Louis-Auguste Commerson

La mémoire de la plupart des hommes est un cimetière abandonné, où gisent sans honneurs des morts qu'ils ont cessé de chérir. Toute douleur prolongée insulte à leur oubli.

Marguerite Yourcenar

La générosité n'est que la pitié des âmes nobles.

Nicolas de Chamfort

La honte n'est pas toujours la conscience du mal que nous faisons, elle est souvent la conscience du mal qu'on nous fait.

Paul Morand

Ah ! les oarystis ! les premières maîtresses ! L'or des cheveux, l'azur des yeux, la fleur des chairs, Et puis parmi l'odeur des corps jeunes et chers, La spontanéité craintive des caresses !

Paul Verlaine

Il avait eu quelque peine à apprivoiser cet oiseau farouche.

Roger Martin du Gard

Je possède une lettre de lui qui commence par ces mots : "Ma chère Hortense..." et qui se termine ainsi : "Au revoir, ma chère Adèle..."

Sacha Guitry

Ses yeux à l'abandon.

Stendhal

Tout mobile qui se meut dans un cercle ou dans une ellipse ou dans une courbe quelconque se meut autour d'un centre auquel il tend.

Voltaire