Citation de Edmond Jabès

← Précédent Suivant →
Il y eut, jadis, une main pour nous conduire à la vie. Un jour y aura-t-il une main pour nous conduire à la mort ?... - Edmond Jabès

Il y eut, jadis, une main pour nous conduire à la vie. Un jour y aura-t-il une main pour nous conduire à la mort ?

Edmond Jabès

Toutes les citations de Edmond Jabès →

Explorer les Citations

La paix est mince, et elle doit le demeurer si elle veut se faufiler entre deux guerres.

Aline Beaudin-Beaupré

Le roman est le récit d'une modification. Celle du personnage principal, le plus souvent, ou bien, s'il est un monstre d'indifférence, celle des personnages qui l'entourent. Quoi qu'il en soit, dans un roman, quelque chose s'est transformé à la fin.

Charles Dantzig

Un avare est un imbécile qui se laisse mourir de faim pour garder de quoi vivre.

Charles Narrey

La séparation, c'est aussi comme l'amour, quelque chose qui commence. Comme l'amour, quelque chose qui s'apprend.

Dominique Lévy-Chédeville

L'homme qui tombe, rien ne lui permet de sentir qu'il touche le fond. Il tombe et il ne cesse pas de tomber.

J. D. Salinger

L'espérance est un emprunt fait au bonheur.

Joseph Joubert

La vitesse et la réactivité sont les conditions essentielles du succès. On en est presque au point où être le premier vaut mieux que d'être intelligent ?

Lou Gerstner

Je trouve la mort si terrible, que je hais plus la vie parce qu'elle m'y mène, que par les épines qui s'y rencontrent.

Madame de Sévigné

La liberté de la droite, c'est en réalité celle du renard et du poulailler.

Pierre Mauroy

La vie est capricieuse, vous vous en apercevrez. Elle ne nous permet pas toujours d'être raisonnable.

Robert Goddard

Tu manieras la pioche, la pelle et la défricheuse.

Robert Sabatier

On ne fait pas ce qu'on veut. On veut, et on vit : cela fait deux.

Romain Rolland

Je pense que je vieillis, mais j'apprécie le processus.

Sharon Stone

La mémoire ne prodigue ses cadeaux que si quelque chose, dans le présent, la stimule.

Siri Hustvedt

Il ne saurait être question d'imposer aux Français un programme nucléaire auquel ils seraient profondément opposés après avoir été complètement informés.

Valéry Giscard d'Estaing