Citation de Douglas Kennedy

← Précédent Suivant →
Chacun de leur coté, parents et enfants finissent toujours par croire que ce sont eux qui ont eu le rôle ingrat, les soucis sans les... - Douglas Kennedy

Chacun de leur coté, parents et enfants finissent toujours par croire que ce sont eux qui ont eu le rôle ingrat, les soucis sans les remerciements. Et personne n'est content, au bout du compte.

Douglas Kennedy

Toutes les citations de Douglas Kennedy →

Explorer les Citations

L'amour, c'est le parfum de l'âme qui s'épanouit. C'est l'amour qui vous donne le désir et la force de construire et d'embellir un siège sur lequel on ait envie de s'asseoir auprès de vous.

Alphonse Karr

La médiocrité obtient plus en s'appliquant que la supériorité qui ne s'applique pas.

Baltasar Gracián

Nos pensées sont les ombres de nos actions.

Francis Picabia

On ne peut comprendre un processus en l'interrompant. La compréhension doit rejoindre le cheminement du processus et cheminer avec lui.

Frank Herbert

Terrible est la punition de ceux qui transgressent la Loi. Nul n'échappe.

H. G. Wells

Il ne faut jamais se moquer des misérables : Car qui peut s'assurer d'être toujours heureux ?

Jean de La Fontaine

Un taureau de combat n'est pas agressif. C'est son attitude de défense, anarchique, désordonnée, qui donne l'impression d'hostilité.

Jean-Christophe Grangé

C'est toujours le joueur le plus mauvais qui a la balle.

Loi de Murphy

Un pays, comme un arbre, a besoin, pour grandir et résister aux intempéries, de racines profondément ancrées dans le sol ou dans le passé.

Maurice Denuzière

Comme notre naissance nous apporta la naissance de toutes choses, aussi fera la mort de toutes choses, notre mort.

Michel de Montaigne

L'amour-propre nous gâche l'amour de la même façon que l'instinct de la propriété aliène nos autres sens.

Philippe Bouvard

L'honneur de l'homme est d'atteindre à ce centre où la certitude se fait vertige et le vertige certitude.

Pierre Emmanuel

Seuls les morts n'ont pas de problèmes.

Ruppert Barnes

Une fois enrichi, le fakir décida de dormir sur la paille.

Sylvain Tesson

Toi, si pour me servir tu montres quelque ardeur, - De Phorbas que j'attends cours hâter la lenteur.

Voltaire