Citation de Donna Leon

← Précédent Suivant →
Pourquoi les préjugés des autres nous semblent-ils si bizarres, alors que les nôtres nous paraissent réfléchis et raisonnables ?... - Donna Leon

Pourquoi les préjugés des autres nous semblent-ils si bizarres, alors que les nôtres nous paraissent réfléchis et raisonnables ?

Donna Leon

Toutes les citations de Donna Leon →

Explorer les Citations

Nos destinées et nos volontés jouent presque toujours à contretemps.

André Maurois

Tout peut, un jour, arriver, même ceci qu'un acte conforme à l'honneur et à l'honnêteté apparaisse en fin de compte, comme un bon placement politique.

Charles de Gaulle

Le taxi s'arrêta, mais d'un coup de frein si brutal qu'un camion qui le suivait démolit son arrière.

Claude Aveline

Mais en vertu de quel principe biologique fondamental, le plus grand nombre serait-il préservé de l'erreur ?

Henri Laborit

Plus il mesurait ce qu'il y avait de vil et de vulgaire, de mesquin et de ridicule - de bourgeois, en un mot - dans son attitude envers elle, plus il s'y incrustait.

Henry de Montherlant

La vie militaire exige peu d'idées.

Honoré de Balzac

Oh ! Raison funèbre !

Jacques Prévert

Depuis la création du monde il n'y a eu qu'une entente sacrée : la connivence des femmes.

Jean Giraudoux

Il a usé le plaisir sans trêve, les voluptés faciles, l'excentricité superbe, l'orgie abracadabrantesque.

Mario Proth

La valeur d'un hasard est égale à son degré d'improbabilité.

Milan Kundera

Et je voudrais, pour moi, qu'on ne me fît savoir - Que ce qu'avec clarté l'on peut me faire voir.

Molière

J'aimerais que les pauvres aient tous des Rolls. Et moi, j'ai vendu la mienne. Voilà le travail socialiste.

Serge Gainsbourg

Parfois, ce n'est qu'en quittant la scène qu'on peut savoir quel rôle on a joué.

Stanislaw Jerzy Lec

Pour connaître l'homme, il suffit de s'étudier soi-même ; pour connaître les hommes, il faut les pratiquer. - Je connais très peu les hommes. Mes études ont été sur l'homme.

Stendhal

La neige : des copeaux de ciel rabotés par le froid.

Sylvain Tesson