Citation de Donato Carrisi

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Il y a toujours un tribut à payer à sa propre part obscure. Tout le monde porte un masque pour la cacher.... - Donato Carrisi

Il y a toujours un tribut à payer à sa propre part obscure. Tout le monde porte un masque pour la cacher.

Donato Carrisi

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A Paris, ce qu'on appelait autrefois l'âge mûr tend à disparaître. On reste jeune très longtemps, puis on devient gâteux.

Alfred Capus

On nous dit que l'homme n'utilise que 10% de son cerveau ; c'est peut-être mieux ainsi.

Anonyme

Dans le monde, nous n'estimons guère les faiseurs de phrases.

Auguste de Villiers de L'Isle-Adam

Amour fait vivre, et - Crainte fait mourir.

Clément Marot

Le but est de faire savoir que vous savez faire savoir, et il sera toujours temps de voir si vous savez faire !

Corinne Maier

La souffrance n'est pas une occasion de haïr, c'est une occasion d'aimer. C'est la seule chose que nous apprend la mort : qu'il est urgent d'aimer. Rien ne supprime le chagrin ; mais le vrai coeur le rend utile et bénéfique.

Éric-Emmanuel Schmitt

Le récit de ma vie me paraît tellement sinistre que je ne peux pas vous en parler sans un fond sonore de circonstance, "la marche funèbre", par exemple...

James Dean

C'est ça être un ami, non ? Savoir deviner quand l'autre vous dit le contraire de ce qu'il pense au fond de lui.

Marc Levy

Quelle que soit la quantité de mensonges, de faux souvenirs et de rêves, dont on s'entoure le long d'une vie, c'est toujours le même corps qu'on retrouve, au matin, dans l'éprouvante expérience du réveil ; le corps est sans miracle.

Michel Houellebecq

Il y a un aquarium d'yeux dans ton alcôve.

Octavio Paz

Plus je sais bien tromper, et plus je suis fidèle. Plus je suis infidèle et plus on me chérit.

Paul Pellisson

Amour ne veut point de compagnon.

Proverbe Français

Se cogner à la réalité ne peut pas faire de mal.

Smaïn

Les dignitaires de tout grade - Ont tous l'oeil vulgaire et charnel, - Le même oeil de bête à l'affût.

Stefan George

La joie est un escargot rampant. Le malheur un coursier sauvage.

Vladimir Maïakovski