Citation de Christine de Suède

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Les passions sont le sel de la vie ; on n'est heureux ni malheureux qu'à proportion qu'on les a violentes.... - Christine de Suède

Les passions sont le sel de la vie ; on n'est heureux ni malheureux qu'à proportion qu'on les a violentes.

Christine de Suède

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Le langage de l'amour a une si douce musique, qu'on n'est pas exigeant pour les paroles.

Alphonse Karr

Le noir est l'uniforme de la démocratie.

Charles Baudelaire

On m'accuse souvent d'aimer trop à paraître Où l'on voit la prospérité, Cependant il est vrai qu'on ne peut me connaître Qu'au milieu de l'adversité.

Charles Perrault

Avec le traitement de texte, vous allez vous apercevoir que, pour chaque minute passée à écrire des mots, vous passerez au moins dix minutes à choisir dans quelle police de caractères les habiller.

Dave Barry

Il faut peut-être plus de force d'âme encore pour résister à la solitude qu'à la misère ; la misère avilit, la retraite déprave.

Denis Diderot

Publier un livre, c'est parler à table devant les domestiques.

Henry de Montherlant

La politique consiste à choisir entre le désastreux et le désagréable.

John Kenneth Galbraith

L'Ecole, ventre à table, et mécontente du ragoût, comprit que le Cacique général allait fulminer enfin la colère des trois promotions.

Jules Romains

La femme c'est comme le champagne, froide elle enivre davantage, et dans un emballage français elle coûte plus cher.

M. Aguéev

Pour faire du cinéma, il ne faut pas transpirer, il faut respirer.

Macha Méril

La vieillesse chagrine incessament amasse Garde non pas pour soi les trésors qu'elle entasse...

Nicolas Boileau

En vacances, l'élu important doit jouer au tarot avec sa famille, au tennis avec ses gardes du corps et à cache-cache avec les journalistes qui ont sacrifié leurs congés pour décrire les siens.

Philippe Bouvard

Affection de gendre, soleil d'hiver.

Proverbe Espagnol

En octobre, il faut que l'homme vite s'habille - Quand le mûrier se déshabille.

Proverbe Français

Ce sont toujours les victimes qui restent pour témoigner. Les bourreaux, se taisent, ils s'évaporent dans la nature, ils sombrent dans un gouffre invisible. Ils n'ont pas de nom, pas de voix. Ils disparaissent sans laisser de trace. Nous ne savons rien d'eux.

Svetlana Aleksievitch