Citation de Charles Perrault

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Or je suis convaincu que dans le mariage On ne peut jamais vivre heureux, Quand on y commande tous deux.... - Charles Perrault

Or je suis convaincu que dans le mariage On ne peut jamais vivre heureux, Quand on y commande tous deux.

Charles Perrault

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A la minceur, - N'ayez pas peur de mourir, mais plutôt de mal vivre.

Bertolt Brecht

Assez seul pour ne plus l'être jamais.

Christian Bobin

Quand le corbillard s'ébranla et descendit lentement la rue de la Goutte-d'Or, au milieu des signes de croix et des coups de chapeau, les quatre croque-morts prirent la tête, deux en avant, les deux autres à droite et à gauche.

Emile Zola

Le style est comme le parfum d'un état primitif des esprits.

Eugène Viollet-le-Duc

Vie-temps-mort est un tout indissociable. On ne peut échapper à ces trois entités concomitantes et complices qui déterminent tout phénomène vivant. Car si le temps nous paraît un terrible dévoreur de vies, il en est en même temps le grand fournisseur.

François Cheng

Au Père-Lachaise, les morts ont raison.

Honoré de Balzac

La victoire, Créon, n'est pas toujours si belle : - La honte et les remords vont souvent après elle.

Jean Racine

La pauvreté, plus généreuse que l'opulence, donne aux femmes bien plus que la toilette qu'elles ne peuvent pas acheter, le désir de cette toilette, et qui en est la connaissance véritable, détaillée, approfondie.

Marcel Proust

Paris est aussi grand qu'Ispahan. Les maisons y sont si hautes qu'on jurerait qu'elles ne sont habitées que par des astrologues.

Montesquieu

Ce qui coule de bas en haut, coule aussi de haut en bas.

Proverbe Islandais

Ne donne pas à penser, dans tes largesses, que tu aies été gueux.

Proverbe Juifs

Mieux vaut paraître insensible que larmoyant, mieux vaut sembler sans grâce que pathétique, logique que lyrique !

Stefan Zweig

L'oisiveté est la mère de la philosophie.

Thomas Hobbes

Les esprits une fois émus ne s'arrêtent point.

Voltaire

Les hommes sont des insectes se dévorant les uns les autres sur un petit atome de boue.

Voltaire