Citation de Charles de Saint-Évremond

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Je ne blâmerai jamais un Philosophe pour habiter un Palais, mais bien pour ne pouvoir se contenter d'une Cabane.... - Charles de Saint-Évremond

Je ne blâmerai jamais un Philosophe pour habiter un Palais, mais bien pour ne pouvoir se contenter d'une Cabane.

Charles de Saint-Évremond

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Le temps que nous observons dans la nature n'a pas d'existence propre. Il est seulement une façon d'être des choses.

Alexis Carrel

Ne prends rien à pleines mains, au nom de la modestie.

Anne Barratin

Avec un peu plus de chaleur dans le nihilisme, il me serait possible - en niant tout - de secouer mes doutes et d'en triompher. Mais je n'ai que le goût de la négation, je n'en ai pas la grâce.

Emil Cioran

Jeunesse ! sois humaine, sois généreuse. Si même nous nous trompons, sois avec nous, lorsque nous disons qu'un innocent subit une peine effroyable, et que notre coeur révolté s'en brise d'angoisse.

Emile Zola

Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose.

Friedrich Nietzsche

Le vieux seigneur la prit chez lui, et il fut bientôt si captivé qu'il ne pouvait se passer d'elle une minute.

Guy de Maupassant

Propos, conseil, enseignement, rien ne change un tempérament.

Jean de La Fontaine

La terreur, elle, vient du fait qu'on se demande ce qui nous attend ? Observer, attendre, s'interroger. Anticiper. Imaginer. Imaginer toujours le pire ? Les terroristes se nourrissent des menaces plus que des actes eux-mêmes. Leur arme de prédilection est la peur.

Louise Penny

Ah ! que j'ai de dépit que la loi n'autorise - A changer de mari comme on fait de chemise !

Molière

Le véritable alcoolique est celui qui en voyant une patinoire se dit : Tu imagines la taille du Ricard !

Patrick Sébastien

Comprendre, c'est presque justifier.

Primo Levi

Tu es belle comme des charmantes nuits de septembre avec la lune et les étoiles !

Sivi le poète

Quand on a mal agi, on perd jusqu'à l'espoir qui donne du courage.

Sophocle

Tout ce qui est collectif est borné, tout ce qui est solitaire est nul.

Tony Duvert

Pour nous, en ajournant le développement de notre pensée à une autre occasion, nous nous bornons à dire que nous ne comprenons ni l'homme, comme point de départ, ni le progrès comme but, sans ces deux forces qui sont les deux moteurs : croire et aimer.

Victor Hugo