Citation de Catherine Bernard

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Défendre d'aimer à une jeune et jolie personne, ce serait défendre à un arbre de porter des feuilles au mois de mai.... - Catherine Bernard

Défendre d'aimer à une jeune et jolie personne, ce serait défendre à un arbre de porter des feuilles au mois de mai.

Catherine Bernard

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Lorsque nous pensons avoir été blessés par quelqu'un dans le passé, nous construisons des défenses pour nous protéger contre les blessures futures. Ainsi, le passé effrayant provoque un futur effrayant et le passé et le futur ne le deviennent plus.

Alfred Hitchcock

Si une nana te considère comme son frère, pour son stéréotype c'est cuit.

Anonyme

La liberté, pour faire le tour du monde, n'a pas besoin de passer par chez nous.

Anonyme

Il n'y a pas un jour où je n'ouvre pas un dictionnaire

Bernard Pivot

Je suis une partie de l'histoire que les gens le prennent au sérieux ou non.

Cher

L'image nous donne le réel dans sa totalité et surtout son immédiateté : et la parole vient encore, de surcroît, s'ajouter au visuel et le renforcer.

François Dagonnet

L'intérêt, qui aveugle les uns, fait la lumière des autres.

François de La Rochefoucauld

Ces confidences amoureuses que vous répandez dans les hebdomadaires (ah, c'est beau, de pouvoir se livrer à son exhibitionnisme sous le voile de l'art ! ).

Henry de Montherlant

On ne se suicide pas parce que la vie est absurde, ou parce qu'on est abandonné. Ces raisons-là viennent après.

J. M. G. Le Clézio

Il n'y a rien dont on ne soit plus cruellement puni que d'avoir supposé de l'intelligence à un peintre.

Jacques Rivière

L'assiette d'un employé de bureau, plutôt immobile et sédentaire, nécessite une quantité élevée de fibres apportées par les légumes.

Jean-Claude Rodet

C'est un bien petit espace qui sépare les vivants des morts. La preuve : vous pouvez le franchir en quelques secondes.

Jean-Marie Poupart

Internet a appris des choses mais a encore un long chemin à parcourir. Il se comporte de façon imprévisible, mais il a apporté beaucoup de satisfaction à ses parents et à sa communauté.

Leonard Kleinrock

Je me demande jusqu'à quel point une maladie peut s'acharner sur un être. Je me demande pourquoi c'est mon père qui subit ça. Je ne sais plus quoi faire. Je ne fais plus rien pour lui. Je ne peux plus rien faire. J'essaie de vivre normalement. Je me dis que c'est la seule façon de survivre. J'oublie. Je me souviens. J'ai la tristesse cachée derrière la joie.

Marie Griessinger

Je fais parfois le rêve étrange et pénétrant - d'une rue en étain blanchâtre et maternelle - l'un et l'autre trottoir palpite comme une aile - tandis que sa chaussée a tout son poids d'étant.

Raymond Queneau