Citation de Camille Laurens

← Précédent Suivant →
C'est fou, quand on y pense, une histoire d'amours entre pseudo : comme dans un roman, au fond, des créatures de fiction.... - Camille Laurens

C'est fou, quand on y pense, une histoire d'amours entre pseudo : comme dans un roman, au fond, des créatures de fiction.

Camille Laurens

Toutes les citations de Camille Laurens →

Explorer les Citations

Chou-fleur : Légume potager à peu près aussi gros et aussi réfléchi que la cervelle d'un homme.

Ambrose Bierce

Certains êtres sont comme des sables mouvants ; n'entrez pas dans leur intimité de peur d'être engloutis.

Andrée Maillet

L'art, c'est ce qui concilie l'homme et la femme.

Anne Percin

La perte du temps est la plus irréparable, et c'est celle qui inquiète le moins.

Axel Oxenstierna

Le cerveau peut être considéré comme une glande.

Claude Bernard

Faites votre mieux. Ensuite, ouvrez votre vieux parapluie et promenez-vous tranquillement sous l'averse des critiques qui ne pourront plus vous atteindre.

Dale Carnegie

Tu supportes des injustices ; console-toi, le vrai malheur est d'en faire.

Démocrite

Quand l'homme a voulu imiter la marche, il a créé la roue qui ne ressemble pas à une jambe. Il a fait ainsi du surréalisme sans le savoir.

Guillaume Apollinaire

Ilz allerent loger en lieu où ilz eussent l'eau plus à commandement.

Jacques Amyot

Si les armes prospèrent, et que l'Etat souffre, on peut en blâmer le ministre, non autrement ; à moins qu'il ne choisisse de mauvais généraux, ou qu'il ne traverse les bons.

Luc de Clapiers

Les mots, c'est bien connu, ne servent pas seulement à créer du sens. Ils jouent, ils font l'amour. Ils composent une musique.

Maryse Condé

Un bon ménage coûte de l'argent.

Proverbe Islandais

Une flamme ardente dévore beaucoup d'amas de provisions.

Talmud

Le "Juif", au-delà d'un destin historique, est aussi une idée, un nom universel pour désigner celui dont l'existence est nue, soumise à tout, soumise à pire.

Thierry Hesse

Un volubilis à ma fenêtre me plaît plus que toute la métaphysique des livres.

Walt Whitman