Citation de Bernhard Schlink

Je connaissais le sentiment qu'il n'y a rien à quoi aspirer qui soit vraiment satisfaisant, rien pour quoi travailler, rien à quoi... - Bernhard Schlink

Je connaissais le sentiment qu'il n'y a rien à quoi aspirer qui soit vraiment satisfaisant, rien pour quoi travailler, rien à quoi croire, rien qu'il soit vraiment satisfaisant d'aimer. Ce sentiment transformé en philosophie : c'est ainsi que je me représentais le nihilisme.

Bernhard Schlink

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