Citation de Anton Tchekhov

← Précédent Suivant →
La peur de la mort est une peur animale... Il faut la réprimer. Les seuls qui ont consciemment peur de la mort sont ceux qui croient... - Anton Tchekhov

La peur de la mort est une peur animale... Il faut la réprimer. Les seuls qui ont consciemment peur de la mort sont ceux qui croient en la vie éternelle, ils craignent à cause de leurs péchés.

Anton Tchekhov

Toutes les citations de Anton Tchekhov →

Explorer les Citations

Il est sage de ne mettre ni crainte, ni espérance dans l'avenir incertain.

Anatole France

On ausculte une société par son haut ou par son bas.

André Glucksmann

La maladie rend mystique, tous les fiévreux vous le confirmeront.

Anne Dandurand

L'amitié n'est pas un fil de laine et les noeuds qu'on y fait ne tiennent jamais.

Erik Orsenna

Vous savez que la mémoire d'un poisson est d'une seconde seulement ? A force de regarder ces poissons rouges dans leur bocal, le téléspectateur devant son écran n'a plus qu'une seconde de mémoire lui aussi.

Gérard Depardieu

Cette ceinture de bouées protège le pays de la Magie, sert d'écoute aux gens du pays, leur signale l'approche d'étrangers. Il ne reste plus ensuite qu'à les dérouter et à les envoyer au loin.

Henri Michaux

Apprenons, avant toutes choses, à n'être pas éblouis du bonheur qui ne remplit pas le coeur de l'homme.

Jacques-Bénigne Bossuet

Je sens bien que je devrais prendre l'air catastrophé.

Jean Dutourd

On ne s'habitue à rien, on renonce à changer les choses. Ce n'est pas pareil.

Lorenzo Marone

Le passé ne revient jamais, même si la vie est truffée de souvenirs qui viennent vous chatouiller.

Michel Bussi

Les gens qui excellent sont ceux qui se sentent obligés de prouver leur valeur au monde et à eux-mêmes.

Nancy Lopez

J'espère que la voiture du médecin ne nous doublera pas au départ.

Niki Lauda

Le cérémonial est la fumée de l'amitié.

Proverbe Français

Une pensée profonde exige de la hauteur.

Stanislaw Jerzy Lec

La femme aimée ignore tout quand elle ignore que l'homme porte aux nues ce qu'il n'a point encore.

William Shakespeare