Citation de Antoine Furetière

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D'où vient qu'on a tant approché - Cette justice du marché - Rien n'est plus facile à comprendre : - C'est pour montrer qu'el... - Antoine Furetière

D'où vient qu'on a tant approché - Cette justice du marché - Rien n'est plus facile à comprendre : - C'est pour montrer qu'elle est à vendre.

Antoine Furetière

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Vous auriez montré une goute d'eau à Holmes et il en aurait déduit l'existence de l'Atlantique. Vous me l'auriez montrée à moi et j'aurais cherché un robinet. C'était la différence entre nous deux.

Anthony Horowitz

Dieu est trop parfait pour pouvoir penser à autre chose qu'à lui-même.

Aristote

Elle aurait attendri un rocher belle et affligée comme elle était ; mais la Barbe bleue avait le coeur plus dur qu'un rocher.

Charles Perrault

J'aime la pub, son look, sa cadence - Si j'titube c'est parc'que je danse - Dans ce monde priviligié - D'la pub ou l'bonheur pour nous s'est réfugié !

Charles Trenet

La vie n'a de valeur que par rapport à l'usage qu'on en fait.

Emmanuel Kant

Les hommes ont autre chose dans la vie ; ils ont les troupeaux, les arbres, les conversations. Mais nous n'avons que les petits enfants.

Federico Garcia Lorca

Un noeud finit toujours par se défaire, du simple dégoût d'être un noeud.

Jean Giraudoux

... mourir vivant, c'est-à-dire rempli des projets de la vie. Il faut mourir mourant.

Joseph Joubert

On se protège des autres au lieu de se protéger de soi-même.

Michel Random

Il emportait je ne sais quel embarras dans sa tête, causé par ce qu'il venait d'entendre : quelque chose qu'il ne pouvait arriver ni à penser, ni à oublier.

Paul Valéry

On le sait avec certitude grâce à Bergson : quand quelqu'un tombe, tout le monde rit. Mais il convient d'ajouter : sauf celui qui tombe.

Philippe Bouvard

La politesse n'est souvent que l'hygiaphone des hypocrites.

Philippe Briday

Et ma hache est pendue à l'arçon de ma selle.

Victor Hugo

Un soldat en temps de paix est comme une cheminée en été.

William Cecil Burleigh

Nous travaillons, travaillons, travaillons et nous courons, courons, courons. Il nous arrive de nous dire, essouflés : Dieu que la vie passe vite. Mais ce n'est pas du tout ça : la vie est immobile, c'est nous qui sommes à la course.

Yann Martel