Citation de André Masson

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Si ce livre vous a mis un coup de poing dans le foie, qu'il ne vous empêche pas de vous lever pour bouger.... - André Masson

Si ce livre vous a mis un coup de poing dans le foie, qu'il ne vous empêche pas de vous lever pour bouger.

André Masson

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De quoi les juifs sont-ils coupables ? D'Auschwitz...

Alain Finkielkraut

Entre les deux grilles se trouvait un espace de huit à dix mètres qui séparait les visiteurs des prisonniers.

Albert Camus

Entre Dieu existe et Dieu n'existe pas, s'étend tout un champ immense que traverse à grand-peine le vrai sage.

Anton Tchekhov

Un fait hors de l'ordinaire est plutôt un indice qu'un embarras.

Arthur Conan Doyle

Un homme heureux en ménage dégage toujours une sorte d'aura qui le rend encore plus séduisant auprès des autres femmes.

Bernard Werber

Quand il fait chaud en quelque lieu, si le chef n'y va ou pour le moins quelque homme signalé, le reste ne va que d'une fesse et gronde qu'on les envoie à la mort.

Blaise de Monluc

N'est-il pas un monstre détestable, l'enfant qui raisonne comme un homme fait ?

Érasme

La guerre n'est-elle pas la source et le théâtre de tous les hauts faits ? Or, quoi de plus fou que d'engager, à propos de je ne sais quoi, une pareille lutte, d'où il résulte toujours, pour les deux partis plus de mal que de bien ?

Érasme

Quelque prétexte que nous donnions à nos afflictions, ce n'est souvent que l'intérêt et la vanité qui les causent.

François de La Rochefoucauld

On fera des contrôles fiscaux sur tous les ministres, pour ne pas que l'on soit embêtés. Il y a un devoir d'exemplarité, voire d'invulnérabilité.

François Hollande

La tolérance ! la tolérance ! Il y a des maisons pour cela.

Georges Clemenceau

Ilz chasserent les Perses fuyans, jusques dedans le pourpris qu'ilz avoient remparé et fortifié de cloison de bois.

Jacques Amyot

A la fin les Gaulois commençoient jà à deschausser (déterrer) les roues de ces chariots et à les tirer dans la riviere.

Jacques Amyot

Il lui feit percer la langue avec trois coups d'alesne en trois endroits.

Jacques Amyot

La pénombre était totale, elle palpitait de neige violette et d'électricité quand je me suis mise à fixer des yeux le plafond. De temps à autre, une barre de lumière, venant d'une voiture qui passait, s'élevait et retombait sur le mur ou bien elle frôlait notre commode de son gant blanc, comme s'il s'agissait d'un fantôme qui époussetait les meubles.

Laura Kasischke