Citation de André Breton

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Chacun sait que la tête des dindons est un prisme à sept ou huit faces tout comme le chapeau haut de forme est un prisme à sept ou huit... - André Breton

Chacun sait que la tête des dindons est un prisme à sept ou huit faces tout comme le chapeau haut de forme est un prisme à sept ou huit reflets.

André Breton

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L'amour nécessite sans cesse votre attention et votre sollicitude ; il vous demande tout mais ne vous pardonne rien : ni la moindre désinvolture ni la moindre négligence.

Catherine Bensaid

Corps est rosée du matin Qui brille au lever des mains.

Charles de Leusse

Le moyen de surmonter les pensées négatives et les émotions destructrices consiste à développer des émotions positives opposées, plus fortes et plus puissantes.

Dalaï-lama

Né avec une âme habituelle, j'en ai demandé une autre à la musique : ce fut le début de malheurs inespérés.

Emil Cioran

Voilà l'étude amusante et facile Qui doit parfois occuper vos loisirs, Et précéder l'heure de nos plaisirs. Mais la science est pour vous inutile. Vous possédez le talent de charmer ; Vous saurez tout, quand vous saurez aimer.

Évariste de Parny

Le mauvais goût est une fausseté de jugement, un biais naturel dans les idées.

François-René de Chateaubriand

Hermétique : se dit du milieu très fermé qui a les moyens de se payer un carré Hermés

Marc Escayrol

C'est ce qui rend la vie merveilleuse de rencontrer parfois des gens qui pensent, surtout lorsqu'ils pensent comme nous.

Michel Dupuy

Vérité dans un temps, erreur dans un autre.

Montesquieu

Aujourd'hui, sur demain tu ne peux avoir prise.

Omar Khayyam

Rien de meilleur à l'homme, que de se taire.

Proverbe Juifs

Les saisons, ça ne se discute pas.

Raymond Queneau

Des jours où on n'est jamais vraiment là, il y en a. … il y en a de ces jours qui partent avant même qu'on ait ouvert les yeux !

Richard Brautigan

Dieu ne peut rien changer au passé. Les historiens, oui.

Samuel Butler

J'aime le peuple, je déteste les oppresseurs, mais ce serait pour moi un supplice de tous les instants que de vivre avec le peuple.

Stendhal