Citation de Abel Bonnard

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Quand un artiste ou un auteur se vante de gagner de l'argent, il nous avertit sans y prendre garde qu'il a changé de métier.... - Abel Bonnard

Quand un artiste ou un auteur se vante de gagner de l'argent, il nous avertit sans y prendre garde qu'il a changé de métier.

Abel Bonnard

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Pour ce qui est des homophiles, sache, ô lecteur, qu'une multitude parmi les gens du milieu littéraire s'y rattache.

Ahmed El-Tifâchi

Quand on a de l'argent, on brille. Quand on n'en a pas, on braille.

Anonyme

C'est très pénible de peigner la girafe. Surtout sans échelle.

Chaval

On ne peut rien améliorer sans respecter l'homme, même le pire.

Elsa Vigoureux

Entretien est père de longue durée.

Félix Bogaerts

Le désir est l'anarchiste originel, le premier agent secret - pas étonnant que les gens veulent l'éradiquer. Et au moment précis où nous pensons tenir fermement la bride au désir, il nous laisse tomber ou il nous remplit d'un espoir nouveau.

Hanif Kureishi

Raspoutine : Oui, je suis né en Russie, mais ma nationalité c'est l'argent, tout le reste est sans importance. Je me battrai pour toi... tant que tu me paieras.

Hugo Pratt

Et y avoit de jeunes hommes ceints à travers le fond du corps de beaux devantez ouvrez à l'aiguille.

Jacques Amyot

Si tu ne sais pas quoi faire de tes mains, transforme-les en caresses.

Jacques Salomé

Un four cuit toujours trop ou pas assez. Un micro-onde fait même les deux à la fois.

Loi de Murphy

Tromper une amitié en partant avec la caisse c'est aussi pire que de tromper une liaison !

Michel Tremblay

Pour un pays, tout sera perdu lorsque les emplois d'économiste et de banquier deviendront des professions très respectées.

Montesquieu

Souvent il faut baiser le bras dont on voudrait que la main fût coupée.

Proverbe Français

La solitude est à vous, elle vous tient, et on ne sait jamais si c'est une délivrance ou une malédiction. Va-t-elle vous donner des ailes ou vous réduire à une existence de petits pas ? J'étais entre deux mondes. Si libre.

Véronique Olmi

Charmante, je t'aime ineffablement.

William Shakespeare