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Les médias ont leur part de maltraitance, d'agressivité, de création de monstre comme mon frère... Où on l'invite pour faire le buzz, ou on le laisse déraper sans lui donner des limites, où du coup il s'enferme dans un personnage provocateur. Et ensuite on le met au rébus.
Agnès Soral
Je n'aime pas être dans le jugement. J'ai choisi la gentillesse il y a déjà très, très longtemps quitte à passer un peu pour une conne, pour une naïve. Je m'en fous. La gentillesse - on dit souvent : 'trop bon, trop con'... - la gentillesse, c'est une éthique, ça demande beaucoup de rigueur. C'est un espoir pour le monde.
A chaque fois que je suis amoureuse, mon hymem repousse.
Et on peut être brillant et quelqu'un de traumatisé. Je pense que mon frère est suicidaire et qu'il entraîne avec lui dans une espèce de spirale des gens, sous prétexte qu'il est intelligent. Et c'est très négatif.
Alain, mon frère, est quelqu'un qui ne va pas très bien.
J'ai parfois eu la désagréable impression de m'appeler Agnès Hitler.
Le cerveau de l'homme a deux hémisphères : la couille gauche et la couille droite.
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