Citation de Julie Burchill

Les larmes sont parfois une réponse inappropriée à la mort. Quand une vie a été vécue vraiment honnêtement, vraiment avec succès, ou... - Julie Burchill

Les larmes sont parfois une réponse inappropriée à la mort. Quand une vie a été vécue vraiment honnêtement, vraiment avec succès, ou simplement vraiment, la meilleure réponse à la ponctuation finale de la mort est un sourire.

Julie Burchill

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Explorer les Citations

Les animaux traitent mieux les blessés que les hommes.

Ahmadou Kourouma

Aimer l'humanité entière peut s'avérer plus facile que de tolérer une seule personne.

Alessandro Morandotti

Donc : originalité, consiste à se priver de certaines choses. La personnalité s'affirme par ses limites.

André Gide

Un professionnel est quelqu'un qui peut donner le meilleur de lui-même sans en avoir envie.

Anonyme

Nos différences loin de nous léser doivent nous enrichir.

Antoine de Saint-Exupéry

Pourquoi ma connaissance est-elle bornée ? ma taille ? ma durée à cent ans plutôt qu'à mille ?

Blaise Pascal

Celui qui parle est sans absence.

Christian Bobin

Si vous n'avez pas le courage de vous faire des reproches, il vous faudra subir l'humiliation d'en recevoir.

Félix Bogaerts

L'art ne peut être que personnel. C'est un combat avec sa propre vie, et qui n'a pas de règles

James Gray

Je trouve assez d'épaisseur à la surface du monde.

Jean Giraudoux

De la vérité l'homme n'est pas capable, aussi n'y a-t-il pas d'erreur plus grave que de croire la tenir.

Marcel Jouhandeau

De la raison ! Que voulez-vous que j'en fasse avec de l'amour ? Il va trop son train pour elle.

Marivaux

L'esprit de saillie est plus brillant que solide. L'esprit de conduite est plus nécessaire qu'agréable. L'esprit philosophique est bon aux autres et à soi.

Pigault-Lebrun

Si les hommes étaient assez malheureux pour ne s'occuper que du présent, on ne sèmerait point, on ne bâtirait point, on ne planterait point, on ne pourvoîrait à rien : on manquerait de tout au milieu de cette fausse jouissance.

Voltaire

C'est assurément ne pas connaître le coeur humain que de penser qu'on peut le remuer par des fictions.

Voltaire